Dans un contexte de contraintes qui se durcissent, comme celles économiques ou en termes de réglementation, les exigences envers les collaborateurs augmentent.
Ces tensions externes rejaillissent sur eux et les limites sont parfois atteintes. Il y a des possibilités et des méthodes pour y faire face.
Il est tout d’abord bon de rappeler que le bénévolat est une activité non rémunérée et librement choisie.
L’argent est actuellement versé par l’Etat ou par les assurances sociales aux institutions et non aux personnes qui en ont besoin. On constate un monopole des cantons, qui influencent les prestations et leur accessibilité. Ce nouveau mode de financement au sujet a pour objectif de remédier à cela.
La loi soumet les employeurs et les employés à certaines obligations en terme de sécurité et de santé au travail. Par ailleurs, dans une institution chaque collaborateur doit contribuer à la sécurité et à la santé générales, il en va de même pour les bénévoles. On appliquera les prescriptions légales par analogie.
